Comment Internet a créé un monde de « déflanet »

Que l’on considère, en effet, la pensée comme une simple fonction du cerveau et l’état de conscience comme un épiphénomène de l’état cérébral, ou que l’on tienne les états de la pensée et les états du cerveau pour deux traductions, en deux langues différentes, d’un même original, dans un cas comme dans l’autre on pose en principe que, si nous pouvions pénétrer à l’intérieur d’un cerveau qui travaille et assister au chassé-croisé dos atomes dont l’écorce cérébrale est faite, et si, d’autre part, nous possédions la clef de la psychophysiologie, nous saurions tout le détail de ce qui se passe danOr nous avons vu que ces deux affirmations é taient également vides de sens, et impliquaient, elles aussi, une conception vicieuse de la durée.Les religions primitives ne peuvent être dites immorales, ou indifférentes à la morale, que si l’on prend la religion telle qu’elle fut d’abord, pour la comparer à la morale telle qu’elle est devenue plus tard.La physique et la chimie s’occuperont de la matière brute, les sciences biologiques et psychologiques étudieront les manifestations de la vie.Entre l’art difficile de la règlementation et la croissance économique décevante, le monde de l’industrie bancaire cherche des solutions à cette pénurie possible.Notre perception, disions-nous, dessine l’action possible de notre corps sur les autres corps.Arnaud de Lummen, dans sa récente intervention, a salué le consensus qui s’est instauré sur ce sujet.Or, sa force attractive, pour ne parler que d’elle, s’exerce sur le soleil, sur les planètes, peut-être sur l’univers entier.Enfin nous parlions d’un dieu qui surgirait pour interdire, prévenir ou punir.C’est que, d’ordinaire, nous regardons bien le changement, mais nous ne l’apercevons pas.Mais que, ne le connaissant pas, on le juge, et presque toujours défavorablement, il y a là un fait qui réclame une explication.